Depuis le 1er septembre 2021, l’inscription à La Bibliothèque de Saint-Herblain est gratuite pour tous, quels que soient votre âge ou votre adresse.
Les bibliothèques de lecture publique jouent un rôle fondamental dans l’accès à la culture et dans l’exercice de la citoyenneté. Elles ont su s’adapter à l’évolution des usages culturels avec l’introduction de supports variés et de propositions innovantes.
La Ville de Saint-Herblain manifeste depuis toujours une politique volontariste en matière d’accessibilité et d’inclusion, en particulier à La Bibliothèque à travers l’étendue de son réseau, la diversité de ses propositions mais aussi sa politique tarifaire.
Dès 2008, le prêt gratuit pour les Herblinois était mis en place. Aujourd’hui, la gratuité pour tous accompagne la reprise des activités à la rentrée et permettra au plus grand nombre de développer des pratiques culturelles régulières, sans discrimination géographique.
UNE DÉMARCHE SIMPLIFIÉE
Il est possible de demander son inscription ou sa réinscription en ligne, en remplissant un simple formulaire.
Votre première visite dans l’un de nos équipements n’en sera que plus rapide et plus simple.
Aucun justificatif ne sera nécessaire pour finaliser l’inscription.
L’INSCRIPTION DONNE ACCÈS À L’EMPRUNT ET AUX RESSOURCES EN LIGNE
La collection de La Bibliothèque propose une offre documentaire plurielle et pluraliste pour l’accès à l’information, à la connaissance, au loisir et à l’émotion, à tout âge.
Vous pourrez par ailleurs profiter des spécificités herblinoises que sont les collections spécifiques en arts graphiques, danse et théâtre contemporains, les affiches et les estampes encadrées mais aussi les collections de jeux.
La carte d’abonnement permet :
>d’emprunter :
– jusqu’à 20 livres, albums, BD, CD, DVD, revues et journaux.
– jusqu’à 10 jeux.
– jusqu’à 5 grands jeux d’extérieur.
– 2 jeux vidéo.
– 1 sac surprise réunissant plusieurs documents sélectionnés par un professionnel.
– 2 œuvres pour une durée de 6 semaines non renouvelable.
>d’accéder aux ressources en ligne :
– vidéo à la demande : jusqu’à 4 films par mois.
– presse : quotidiens, hebdos, magazines de cuisine, de jardinage ou de sport, presse jeunesse… en illimité.
– cours en ligne.
UN PROGRAMME D’ANIMATIONS VARIÉES
Expositions, performances, théâtre d’ombres, jeux vidéo, contes, club lecture, autoformation, projections, expérimentations ou atelier graphique : l’accès aux rendez-vous de la programmation est libre et gratuit.
À l’occasion du changement de son catalogue informatique devenu obsolète, la Bibliothèque fait évoluer son site Internet.
Son look ne changera qu’à la marge, laissant toujours la part belle à l’image, en écho aux expositions d’importance que La Bibliothèque, résolument tournée vers les arts graphiques, propose comme autant d’occasions de découvrir les œuvres et de se les approprier.
Cependant des améliorations seront apportées ici et là, augmentant la vitesse d’affichage des pages pour votre plus grand confort, fluidifiant la navigation de recherche ou améliorant nettement l’accessibilité des contenus pour les malvoyants.
Dès la page d’accueil, l’actualité du réseau sera mise en avant, vous permettant d’être informé de tout changement de fonctionnement (accès, horaires, etc.), des rendez-vous du moment et des derniers articles publiés sur le site.
La richesse des collections sera davantage valorisée par de nouvelles entrées autour de sélections thématiques, mais aussi par une présentation dynamique des nouveautés ou des documents les plus empruntés qui s’actualisera régulièrement. De quoi inspirer ceux qui ne savent pas encore ce qu’ils viennent chercher !
Enfin, une application sera disponible sur les plateformes pour être installée directement sur votre smartphone ou tablette.
Du 30 mai au 4 juin inclus, l’ensemble des équipements du réseau sera fermé au public.
Pour pallier les désagréments occasionnés par la fermeture, La Bibliothèque prolongera automatiquement d’1 semaine :
> la mise à disposition de vos réservations
> les abonnements à La Bibliothèque qui arriveraient à échéance pendant la fermeture
Par ailleurs, de manière exceptionnelle, elle ouvrira les conditions du prêt d’été plus tôt qu’à l’accoutumée : dès le lundi 9 mai, vous aurez la possibilité d’emprunter autant de livres, revues, CD et DVD que vous le souhaitez ! (et 10 jeux, 2 jeux vidéo, 5 grands jeux et 2 œuvres d’art) pour une durée de 6 semaines (excepté pour les grands jeux).
>Du 14 mai au 29 mai, les derniers numéros des revues seront seulement consultables sur place ou en ligne; ils ne seront pas empruntables.
>Du 28 mai 19h au 7 juin, la boîte de retours automatisée de la médiathèque Charles-Gautier-Hermeland ne sera pas accessible.
>Du 28 mai 19h au 1er juin, le site Internet sera en maintenance. Par conséquent les services en ligne ne seront plus accessibles : le catalogue, votre espace personnel (réservations, prolongations) ou encore les ressources numériques.
Si des désagréments techniques devaient se poursuivre au-delà de ces dates, nous nous en excusons par avance et nous vous remercions pour votre compréhension.
À la réouverture des équipements le 7 juin, un tutoriel vidéo vous présentera le fonctionnement du nouveau site (in situ et en ligne).
Les agents se rendront également disponibles pour vous faire des démonstrations du site et de l’application et répondre à toutes vos questions.
Merci pour votre compréhension et à bientôt en ligne et dans nos équipements !
Cérémonie de la remise du prix sur la chaine Youtube de la Ville
Merci à toutes les joueuses qui ont joué et noté les jeux (plus de 3300 bulletins comptabilisés !), au président du jury Guillaume Gigleux, animateur-rédacteur à Tric-Trac, et aux membres du jury : Solène, Alice, Nathalie, Marie-Aude, Gisèle, Bastien, Amandine et Damien, qui ont compsé un petit texte à l'issue de leur journée de délibération :
"OH MY BRAIN,
Cette année les jeux sélectionnés c'était pas de la KAMELOOT,
Alors on a essayé de rester un jury (COD)EXemplaire,
En laissant quand même sortir nos DRAGONS intérieurs,
Mais sans trop de prise de (SO)BEK,
Et on a fini par trouver les MOTS MALINS,
Pour nos votes... Enfin ! "
Louis Barreau a créé sa compagnie à Nantes après des études au conservatoire de La Roche-sur-Yon et au Trinity Laban Conservatoire of Music and Dance à Londres.
À l’occasion de sa création du Sacre du printemps, La Bibliothèque vous propose d’assister à sa Petite conférence chorégraphique.
Accompagné d’une danseuse de sa compagnie, il présentera à la fois son travail de composition, l’importance de la musique dans son travail et sa version du Sacre.
Danse et musique entretiennent une relation très forte depuis toujours, qui peut prendre différentes formes.
Ainsi dans les danses folkloriques, les deux arts suivent la même écriture : les mouvements correspondent aux couplets ou aux refrains.
Au contraire, des styles a priori différents peuvent s’accorder, comme dans Boxe boxe de Mourad Merzouki où un quatuor à cordes accompagne les danseurs hip-hop, ou dans le boléro Nya d’Abou Lagraa, sur la musique de Maurice Ravel.
La danse peut créer la musique : les danseurs des chorégraphies de Maguy Marin parlent, chantonnent, traînent des pieds et créent ainsi leur univers sonore. Wrapped d’Inbal Pinto est rythmé par les bruits de bouches des deux danseuses. La musique peut aussi être dissociée de la création chorégraphique, comme dans l’œuvre de Merce Cunningham. Il passe commande pour une certaine durée musicale, et les danseurs ne découvrent parfois la musique qu’une fois sur scène !
Une œuvre est emblématique de la relation entre la danse et la musique : Le sacre du printemps. Chorégraphiée par Vaslav Nijinski sur une musique de Stravinsky, elle fait scandale en 1913 dès le soir de la première représentation publique. Les mouvements de la danse créée par Nijinski sont très éloignés de ceux de la danse classique : pour la première fois, la bestialité et la maladresse sont donnés à voir. À cela s’ajoute une musique audacieuse, avec des dissonances et une agressivité qui choquent le public. C’est aussi dans l’importance donné au rythme que cette œuvre est révolutionnaire dans la création chorégraphique et musicale.
Une reconstitution de la pièce a pu voir le jour en 1987 par le Joffrey Ballet de Chicago, grâce à différents documents comme des dessins, des partitions annotées et des photographies.
De nombreux chorégraphes contemporains ont créé leur propre Sacre du printemps :
Mais aussi Maurice Béjart, Heddy Maalem, Xavier Le Roy, etc.
C’est au Moyen-Âge, alors que la notation musicale se développe considérablement, que les danseurs tentent de consigner par écrit les pas et mouvements. Différents systèmes seront élaborés, et c’est à l’époque de la création du Sacre du printemps que Rudolf Laban élabore un système d’écriture de la danse, qui sera publié en 1928. La « notation Laban » se construit autour de 4 questions : Que se passe-t-il ? Quand ? Combien de temps ? Quelle personne/partie du corps exécute le mouvement ?
Son système est le plus utilisé avec celui de Benesh, ce qui n’empêche pas les chorégraphes contemporains de concevoir leur propre écriture du mouvement. Aujourd’hui, avec le développement de la vidéo, la transmission des pièces chorégraphiques prend une autre dimension.
À l’occasion de la participation de Leïla Sebbar au débat de Place publique sur le thème « Guerre d’Algérie, quelles mémoires dans les familles ? » le jeudi 28 avril, La Bibliothèque vous propose une rencontre à la bibliothèque Bellevue afin de découvrir son œuvre portée par un regard féministe.
« Brune, frisée, les yeux bruns. De ma mère française, j’ai le nez gascon, de mon père algérien, j’ai les pommettes hautes et le teint mat. Une enfance enfermée dans la Colonie et la guerre, m’a imposé le regard prédateur de l’écrivain. »
Romancière, essayiste, critique littéraire, Leïla Sebbar a construit son œuvre autour de trois préoccupations principales qui souvent s'entrecroisent dans un même livre : l'exil, la langue et la condition de la femme.
Ce titre d’un poème de Victor Hugo lance au niveau national la 6ème année des Nuits de la Lecture. Du 20 au 23 Janvier, La Bibliothèque vous invite à venir découvrir des animations et une sélection autour de ce thème universellement fédérateur.
Tout l'univers obéit à l'Amour; Aimez, aimez, tout le reste n'est rien./ Jean de La Fontaine
Dans la vie, il y a tant de choses à aimer. Mais aime-t-on de la même façon ses amis, ses parents, le vélo ou les fraises ? L’album d’Anne Lalanne et Thierry Manès : Aimer, c’est quoi ? permet de prendre conscience de notre relation avec tout ce qui nous entoure. Car aimer passe non seulement par le cœur mais également par les sens. Prendre soin de la vie : de soi, des autres et de la nature est plus qu’un titre, il pourrait devenir un slogan tant ses actions sont liées, comme nous le présente lumineusement Christophe André.
Personne n’échappe à la maladie d’amour. Même si la science tente de modeler les relations amoureuses comme le démontre Pujo-Menjouet dans un livre astucieux et ludique : le jeu de l’amour sans le hasard. Véritable pandémie, la maladie d’amour a inspiré une trilogie au Bédéiste Cyril Bonin. Amorostasia, décline le sentiment amoureux sous toutes ses facettes. Pour notre plus grand bonheur, y sont analysés aussi bien les incidences de ce mal sur la société que sur la vie de l’héroïne.
Ce n'est pas l'amour qu'il fallait peindre aveugle, c'est l'amour-propre. / Voltaire
En amour il n’y a aucune certitude, qu’un infini questionnement. Apprenant qu’un musée des cœurs brisés existe à Zagreb en Croatie, on peut s’interroger. Les histoires d’amour sont-elles si romantiques qu’on nous les dépeints ? Chacun des protagonistes parle-t-il de la même chose ? Héloïse et Abélard la première vrai histoire d’amour ? Plutôt une histoire de duplicité. Tristan et Yseult, alors ? Pensez donc, un texte d’avantage sur la jalousie. Certes il existe bien des histoires comme Roméo et Juliette de Shakespeare. On sent bien dans ce drame qu’à la haine ces deux-là préfèrent pencher pour l’amour. C’est bien naturel, car comme disait Jean Giraudoux : L'amour est le désir d'être aimé ». Déjà la reprise de Jerome Robbins avec West Side Story nous fait mieux saisir la fragilité des vrais amants qui n’ont que faire des mesquineries de la société qui les entourent. Mais Eric Ruf, en 2016, nous a offert une nouvelle mise en scène qui est loin de laisser indifférent. Il débarrasse l’œuvre de Shakespeare de tout excès de romantisme pour se concentrer sur ce que se disent les protagonistes. Dégrisé d’esprit romantique, nous comprenons que si affrontement il y a c’est entre deux individualités qui tentent de s’ajuster. La lithographie d’Olga Boldyreff : les élans d’amour l’illustre, non sans humour.
Pourquoi c’est si compliqué l’amour ? Ce dernier livre de Philippe Brenot, l’auteur du best-seller d’Une histoire du sexe, nous donne les clés pour décoder l’autre et comprendre nos différences pour en faire des atouts d’une vie à deux épanouie. Voilà justement le challenge, du jeu de plateforme: It takes two. Où incarnant un couple au bord de la rupture vous surmonterez à deux les défis les plus déstabilisants et vivrez des moments hilarants.
En fait d'amour, vois-tu, trop n'est pas même assez. / Beaumarchais
Les troubadours l’avaient bien compris, l’amour est un Ying et yang des rapports humains. Aussi indéfinissable que la notion de temps, l’Amour ne connaît ni temps, ni horizon.
A chacun son approche. Oiseau rebelle pour Carmen de Bizet ; passionné comme Jean Ferrat chante Aragon avec surtout : Aimer à en perdre la raison. L'amour est une véritable graine de folie qui se ramifie à l’infini au contact d’autrui.
Venez donc faire votre choix parmi les documents à emprunter et repartez avec une pépite : décalée comme l’écume des jours de Boris Vian, fantastique comme La forme de l’eau de Daniel Kraus et Guillermo del Toro, poignant comme le film Deux de Filippo Meneghetti, impitoyable comme dans Americanah de Chimamanda Ngozi Adichie ou un subtil mélange de tout cela. Car comme écrivit Alfred de Musset à Victor Hugo :
« Il faut, dans ce bas monde aimer beaucoup de choses,
Pour savoir, après tout, ce qu’on aime le mieux ».
Pour sa troisième participation au festival Celtomania, La Bibliothèque vous invite à explorer les univers celtiques, avec une lecture contée « sur mon L » le samedi 9 octobre à 10h45, sur le thème des héros, puis une projection cinématographique jeunesse le mercredi 24 novembre à 16h30 pour suivre des aventures irlandaises, le tout dans l’auditorium de la médiathèque Charles-Gautier-Hermeland.
Une sélection de musiques celtiques est installée à la médiathèque Charles-Gautier-Hermeland, du mardi 5 octobre au samedi 23 octobre et, pour accompagner la découverte de ce foisonnement artistique, voici un itinéraire vagabond à travers les instruments et les styles.
Les cornemuses et les harpes sont les instruments les plus représentés dans l’iconographie, même ancienne, illustrant les musiques celtiques.
- Les cornemuses : les premières « images sonores » qui surgissent quand on évoque la musique celtique, sont souvent celles de groupes qui défilent en costume traditionnel au son des bombardes bretonnes ou des cornemuses écossaises.
Si le son continu du bourdon vous a charmé, vous pourrez écouter aussi la gaïta galicienne avec Carlos Nunez ou encore vous laisser surprendre par les subtilités des uilleann pipes irlandaises, popularisées par les sonneurs jouant dans des groupes comme Planxty ou The Chieftains et par des solistes, tel John McSherry.
* La harpe: très utilisée depuis le Moyen-Age, elle tient une bonne place dans la composition d’airs baroques en Ecosse et Irlande aujourd’hui interprétés par Andrew Lawrence King, en duo avec Jordi Savall et Les musiciens de Saint-Julien.
En Bretagne, sa trace disparaît. Ce sont Alan Stivell et son père, luthier, qui en imagineront de nouveaux modèles.
Parmi les belles surprises de la création contemporaine pour la harpe, figure la bande sonore du dessin animé Arrietty, composée par Cécile Corbel.
Les percussions, les différents types de guitares, l’accordéon diatonique et le violon contribuent aussi à la richesse mélodique des groupes celtiques où l’on trouve de plus en plus d’expérimentations et de métissages musicaux.
Erik Marchand crée la Kreiz Breizh Akademi pour permettre à des jeunes musiciens de tous pays d’innover ensemble et s’implique lui-même dans des expériences inédites, comme ce battle entre rock et chant Breton avec Rodolphe Burger.
De nombreux groupes explorent les rencontres de répertoires et d’instruments. Ainsi le Kazut de Tyr avec ses aller-retours entre Bretagne et Kurdistan : trompettes, bombardes, accordéon, percussions s’entremêlent au son du saz, chants Breton et Kurde se répondent.
En Ecosse, Saor Patrol compose des cocktails sonores entre cornemuses, grandes percussions et guitares électriques.
Le Celtic social club, s’inspirant du modèle du Buena Vista Social Club mêlent les mélodies celtiques et les sonorités dub et ska. De nombreux invités joignent la bande, par exemple le jamaïcain Winston McAnuff.
Denez Prigent trace son chemin en solo ou entouré d’artistes prestigieux, telle Lisa Gerrard, pour l’album « Irvi » et compose ses textes en breton, sur fonds de musique en partie électronique.
La voix invite au partage et au rythme des mouvements : chaque chanteur, selon sa langue, son univers musical, déploie sa virtuosité technique, pour susciter l’émotion, le rêve ou l’énergie dansante. Les chanteurs contemporains de formation traditionnelle n’hésitent pas à varier les formes et approcher d’autres styles vocaux.
En Bretagne, depuis 1972, l’association Dastum collecte et numérise chants et musiques, sauvant de l’oubli des répertoires anciens et permettant à tous de s’en saisir.
Annie Ebrel, Nolùen Le Buhé et Marthe Vassallo marient les techniques de trois « terroirs » musicaux bretons pour offrir de nouvelles résonances aux complaintes et aux chants à répondre.
Krismenn chante en breton et y mêle la performance du « human beatbox », percussion vocale plus souvent utilisée dans le jazz ou le hip-hop.
Julie Fowlis, originaire des Hébrides, chante en gaélique Ecossais: elle joue avec les rythmes et les airs à danser.
Pendant le confinement elle anime une session distanciée de puirt a beul : « airs à la bouche », danses chantées en jeux de sonorités rapides.
Il ne reste plus qu’à laisser vos pieds vous guider!
Mathieu Hamon et Sylvain Girault, compositeurs et chanteurs du pays gallo, mènent le rond avec verve.
Le fest-noz est un temps festif populaire ouvert à tous : pour apprendre quelques pas, ce DVD sera fort utile.
Les cercles celtiques développent des pratiques plus exigeantes : composition de chorégraphies élaborées présentées de concours en festivals, s’inspirant parfois de la danse contemporaine.
Et pendant ce temps, en Ecosse et en Irlande.
Scottish folk dance: Strathspey & Tulloch
Fusion Fighters Dance Crew Perform in Temple Bar, Dublin
Le Festival Interceltique de Lorient, pépinière de talents et creuset de métissages musicaux, met en ligne des extraits de concerts et des conseils d’écoute.
C’est à Bologne que Liuna Virardi a vu le jour en 1983.
C’est à Toulouse qu’elle travaille désormais.
Et…c’est dans le quartier Bellevue qu’elle va poser ses bagages ! Du 18 octobre au 6 novembre 2021, Liuna Virardi est invitée par les villes de Nantes et Saint-Herblain dans le cadre du Contrat territoire Lecture Grand Bellevue. Venez la rencontrer, et dessiner avec elle !
Liuna Virardi a étudié le design graphique, la communication visuelle, et l’illustration. Elle s’intéresse particulièrement à l’illustration jeunesse : il y 5 ans, elle décide d’en faire son métier.
Depuis elle a déjà publié une dizaine d’albums en français et remporté des prix prestigieux comme le Bologna children Bookfair ou le prix Sorcières.
Elle travaille également pour la presse (adulte et jeunesse, française et étrangère) et mène des projets de décoration urbaine.
Les images qu’elle invente sont tantôt épurées, graphiques et minimalistes (ABC des peuples et Comment tout a commencé édités tous les deux sur les beaux papiers des éditions MeMo) ou pleines de lumières, de couleurs et de fantaisies (Imagine ou Dans la boîte édités chez l’Agrume).
Plus récemment les éditions Didier jeunesse ont fait appel au trait coloré de Liuna pour mettre en images deux livres CD autour du jazz et des comédies musicales.
Liuna utilise des tampons qu’elle crée elle-même en fonction de ses envies et de ses besoins : ronds, carrés, ovales, lignes droites ou courbes sont autant de formes simples qu’elle assemble pour composer des images plus complexes.
Ses albums portent des messages simples et humanistes : le temps qui passe, les singularités de chacun et la richesse des différences.
Durant sa résidence, Liuna Virardi rencontrera les lecteurs, enfants et adultes, dans les bibliothèques et ludothèques du Grand Bellevue lors d’échanges sur son travail ou d’ateliers qui feront écho à deux de ses albums -l’ABC des peuples (MeMo) et Imagine (L’agrume) –
Ateliers avec Liuna Virardi (tout public à partir de 3 ans).
À votre tour et en famille venez jouer les artistes et créer vos images sous les conseils avisés de Liuna.
Samedi 23 octobre 10h-11h30 Bibliothèque Bellevue, 26 rue de St Nazaire, Saint-Herblain.
Sur inscription au 02 28 25 25 52.
Samedi 30 octobre 14h30-16h La Ludothèque, 11 rue de Dijon, Saint-Herblain.
Sur inscription au 02 28 25 25 93.
Mercredi 3 novembre 10h-11h30 Bibliothèque Bellevue, 26 rue de St Nazaire, Saint-Herblain.
Sur inscription au 02 28 25 25 52.
Des ateliers également proposés à la médiathèque Lisa Bresner à Nantes les mercredis 20 et 27 octobre à 15h et le samedi 6 novembre à 10h30.
Sur inscription au 02 40 41 54 00.
Durant sa résidence, vous pourrez également découvrir les albums de Liuna Virardi à la Bibliothèque Bellevue ainsi qu’à La Ludothèque.
Si vous avez envie d’en savoir plus, partez à la découverte de son site.
https://liunavirardi.com/
de sa page instagram.
https://www.instagram.com/liunavirardi/
de sa page facebook.
https://www.facebook.com/liunavirardiillustration/
Pendant la résidence de l’artiste et en amont de celle-ci venez également découvrir à La Ludothèque (du 7 au 21 septembre) et à la Bibliothèque Bellevue (du 26 octobre au 5 novembre) le beau jeu en bois « Qui suis-je » imaginé par Liuna.
Le jeu sera également visible à la médiathèque Lisa Bresner à Nantes du 22 septembre au 23 octobre.