Cette pièce est librement inspirée par l'affaire Guy Georges, en 1998. On recherche activement l'un de ces tueurs en série qui fascinent la population. Le plus important n'est peut-être pas d'arrêter le "monstre", mais d'enfermer son crime sous des couches de discours : ça parle beaucoup dans les bas-fonds comme chez les hauts fonctionnaires de l'Etat. S'il est des vérités, elles fuient sur les écrans et les surfaces de la société, elles se glissent dans des zones obscures que l'on n'a pas toujours envie d'explorer parce que les faits divers y perdent de leur beauté...